ALERTE - En France, une impunité inquiétante menace les artistes guinéens. Dans les salles conventionnées de Paris, réputées pour leur exigence, la loi du désordre semble parfois prendre le dessus. Un public surexcité oublie les règles de sécurité et de respect. Les artistes guinéens, nombreux à se produire dans des lieux prestigieux comme le Casino de Paris, en souffrent.
La récente prestation de Saifond Baldé a mis en lumière ce phénomène à la fois inquiétant et compromettant. Alors que l’artiste donnait tout, des jeunes spectateurs ont envahi la scène sans vergogne. Ils se sont rués sur lui, s’accrochant à ses vêtements, le bousculant même au point de mettre sa sécurité en danger. SITANEWS a filmé la scène. Regardez ici >> https://youtu.be/sXx3oaYC9ZQ.
Mais qui a vraiment mesuré les risques encourus ?
Les salles parisiennes fonctionnent avec des règles strictes. La sécurité passe avant tout. Un incident peut coûter cher à l’artiste et à son label : risque de blacklistage, interdiction d'y revenir. Sous l’effet de l’euphorie et parfois du stupéfiant, les jeunes oublient les limites et étonnent même les agents de sécurité. Ils veulent toucher l’artiste et vivre pleinement l’instant présent, sans se rendre compte que leur comportement démesuré peut absolument nuire à leurs idoles. Les artistes souhaitent partager leur art, mais ils doivent aussi lutter contre cette forme de sauvagerie.
La France, pays des arts et des libertés, doit se poser cette question : jusqu’où tolérer l’impunité d’un public guinéen de plus en plus incontrôlable ? Les artistes sont invités à multiplier les actions de sensibilisation, voire à identifier les éléments nuisibles et à les écarter. Laisser faire, c’est compromettre leur mobilité dans les salles mythiques de Paris. Ils méritent un public respectueux et doivent pouvoir chanter sans craindre pour leur sécurité sur scène. Il est urgent de prendre des mesures avant qu’il ne soit trop tard. N'est-ce pas ?
Par Sitanews
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